Militant communiste depuis le congrès de Tours en 1920, il est arrêté lors de la rafle du 12 juillet 1942 à Pamiers, après une distribution de tracts appelant à une manifestation le 14 juillet. Condamné à 2 ans de prison, il est transféré à la prison Furgole de Toulouse, puis à la centrale d’Eysses. Il transmet à sa femme des documents importants lors de visites et suite à la révolte de février 1944, il est déporté à Dachau en juin et revient à Pamiers en avril 1945.